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La Clairvoyance de Rome.

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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Roman Ambrose !


Roman Ambrose


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MessageSujet: La Clairvoyance de Rome. La Clairvoyance de Rome. Icon_minitimeLun 16 Jan - 7:21


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CLAIRE
&
ROMAN

La Clairvoyance de Rome.

"Don’t be Scared
I’ve done this Before
Show me your Teeth..."






La plus âpre des sensations assiégeait l’âme de Roman. En effet, ou en cause, quelle conséquence à ces principes que la langue aspire comme un accent mal imité ? Aucune. Mais si nous substituons le premier au premier et non le deuxième au premier c’est parce que nous sommes humains. Parce que nous ne réfléchissons pas. Parce que nous ne voulons rester paresseux., il désirait agir. Penser. Penser à agir, sans pas plus savoir à quoi méditer qu’à qu’elles actions s’adonner. Noble perspective de réflexion. Nul doute qui ne l’abandonne au bout de quelques secondes. Ou non. Car Roman ne suivait comme règle que celle de son bon vouloir. Et celui-ci étant parfaitement dépourvu de rigueur, il ne comptait guère à prétendre à la moindre stabilité. Et ainsi venait dans le fil de l’esprit humain le problème, le plus douloureux des affres conduis à sa nature, ex-communiquée volontaire.

Prenant pourtant l’indécision plus en vertueuse qu’en vénielle, il contemplait des cieux immobiles d’un chêne sombre tendus de pourpre, tout en se délectant du vide d’envie logé dans sa boite crânienne. L’envie, la paresse, la gourmandise… tu es ce que tu manges. Alors Roman est un thé, brûlant et amer, relevé à l’absinthe. Tournoyant au fond de sa tasse de porcelaine évidemment peinte et dorée, sans que cela ne change rien d’autre qu’elle n’abîmera plus vite, le garçon-fait-boisson éparpilla quelques vapeurs vireuses dans l’atmosphère écornée de la pièce.

Ecornée, oui, le terme sonnait juste, crispant d’un usage, d’un déjà vu, comme la page élue favorite, que l’on balafre avec soin pour mieux la trouver parmi les autres, pour mieux l’admirer parmi ses charmes. Songeant alors qu’un autre s’était, Blasphème outrageux et éhonté, déjà vu possesseur des lieux avant lui-même, il décida l’air capiteux et bien trop âcre pour sa personne non-pas délicate mais bien précieuse.

Ôtant ses pieds du mur où ils avaient atterris, orgueilleux opposants à l’inéluctable gravité, cuisse tendues sur les oreillers blancs, chevilles posées, comme sur le plus fier des trônes, sur la tête de lit, bien trop identique à celles des autres pour que Roman n’y eut tracé ses armoiries, gravant de la pointe d’un morceau opaque de bouteille d’alcool dans le bois sculpté un vagissement littéraire d’une prose hésitante, le jeune homme renversa son buste avec une grimace alors que sa hanche pénétrait ses côtes pour qu’il ne se relève une poignée de douloureuses secondes plus tard.

Contorsion silencieuse mais affligeante. Limites de l’humain, d’un corps dont seul les sens paraissent ne pouvoir s’émousser. Ou si peu. Car qu’est-ce que l’aveuglement quand le goût reste ? Le rictus flamba ses traits. Encore un mensonge. Si l’on perdait quelque chose, on ne pouvait s’estimer récompensé. Seul l’ajout conduit à la réussite. Les camélias ne sont perceptibles qu’à la vue. Roman, pourtant, seul, sentait leur parfum. Un silence tonitruant régnait sur les lieux. On en percevait les émois comme si l’oreille n’avait guère plus à jouer que la folie dans l’cette opération. Boum.Boum.Bam.Bang.Bing.Big.Big Bang. Bing et Bang au pays des Candides. Les cicatrices qui lacéraient l’âme devinrent des sourires, des sourires couts et édentés, dont les lèvres morbides se gerçaient d’un sang coagulé. Des sourires qui effraient. Des sourires qui ne naissent et n’existent que sur les visages poudrés des clowns. Au sein des paradis artificiels. Et c’était de ces plaies-faites-moues dont le visage du Gryffondor voulait ardemment être marqué. Encore. Car le passé se répète et devient futur à l’instant où l’on y songe. A l’instant où le xanax s’envisage avec la vodka et que la démence, Libératrice, prend le pas sur les maux. Les draps tiédis se plissèrent sous ses gigotements vaseux, irritants ses nerfs déjà éprouvés à mesure qu’ils se soustrayaient aux sensations de son dos.

Atterrissant sur le sol, il se releva d’un coup de coude adressé à son matelas. Trop vite, sans doute, comme à chaque fois, car il fut pris d’un vague sentiment de malaise tandis qu’une boule chaude se formait sous sa pomme d’Adam et que les contours de ce qu’il avait à voir se brouillaient. La poitrine oppressée d’un vagissement d’émotion diffuse, entre l’indisposition et la délectation de celle-ci, il n’en fut que plus vite sorti de la pièce considérée surchauffée par son œil fiévreux. Passant le chambranle massif d’un pas nerveux, la volée de marche descendue en quelques bonds, il considéra à peine les visages, illuminés par les feux ronflants des cheminées, ensemençant son chemin au travers des appartements poussiéreux des Gryffondors, et enjamba bien vite l’encadrement du tableau retourné en porte, gardienne parcheminée et rosâtre de ce qu’ils nommaient pompeusement Salle Commune.

Concept abstrait, incompréhensible. Comment pouvait-on, voulait-on, s’associer à des êtres aussi étrangers, inférieurs, à soi-même ? S’il n’en respectait aucun des principes, Roman surprenait encore à croire en la volonté divine. Et celle-ci convenait qu’on ne pouvait s’élever qu’en présence de supérieurs. Or, qui pouvait prétendre lui être meilleur ? Nul être n’avait conçu pareille hérésie, et si c’était le cas, l’Ambrose n’avait aucune envie, et donc aucun besoin, de les chercher, d’où le désintérêt total du jeune homme pour la société de Poudlard.

Les escaliers se succédèrent sous ses pieds, alors que l’air frais de la soirée giflait contentieusement ses traits. La clarté d’esprit vint avec le froid ambiant. Laissant échapper un sourire de contentement éphémère, le garçon, quittant une nouvelle volée de marches pour un couloir, passa devant des portes massives familières. Roman haussa les sourcils. Soit, cela n’est guère étonnant dans le cas d’un jeune homme aussi agréable et optimiste qu’il pouvait l’être, mais la raison de cette consternation muette l’était autrement plus. Quelques heures auparavant, il était entré dans le réfectoire… non, dans la « Grande Salle», comme on disait ici. Nuance intéressante pour la riche vétusté des lieux mais inutile dans le cas où il n’avait eut aucunement d’autre intension que de manger une pomme et de s’en aller, sans prononcer un mot à qui que se soit, sans s’attarder sur l’habillement de l’endroit, comme d’habitude. Tout au plus, il avait envisagé de boire un peu de café. Noir. C’était à peu de choses près la seule forme de nourriture ingurgitable le soir venu qui lui permette, étrange effet, de se réveiller totalement le lendemain matin sans devoir piquer un somme pendant le deuxième cours. Non-pas que cela ne le dérangeât profondément. Simplement que la nécessité d’une logique ne lui était pas propre. Il se contentait d’une idée pour agir, qu’importe comment ne se déroulerait cette dernière, il avait décidé de rester enfant, il l’était donc resté. Et chacun sait que les passions des marmots ne souffrent pas plus l’autorité de la raison que des conséquences que leur bêtise apporte inévitablement.

Mais maintenant, la nuit s’était lovée sur les tours du château, mordillée par quelques modestes lueurs dispersées aux fenêtres du bâtiment. Il tâta ses poches, rien. Plissant ses paupières, il martela du bout de ses ongles les panneaux de cèdre cloutés qui bloquait son passage. Sa langue humectant sa lèvre inférieure, goutant l’amer de la venimeuse lippe, incestueuse mère du fiel qu’il déversait en toute occasion, le parvenu tapota la serrure de sa baguette apparue, ironie des enseignements de l’école, comme par magie entre ses doigts pâles. Pivotant sans un bruit sur ses gonds, juste assez pour qu’il puisse pénétrer les lieux, l’invitation devenue porte ne fut pas plus vite priée qu’acceptée. Ne prenant même pas soin de la refermer, songeant sans doute que quelqu’un n’attendait que cette opportunité pour être honoré de le faire à sa place, il grimpa sur la première des quatre longues tables cheminant sur toute la longueur de la pièce pour s’y déplacer comme sur une estrade. Dépassant dans l’esquive des chandeliers grognant disposés avec soin le long des rangées éclairées alors seulement de la voute nocturne copiée au moindre millimètre par les toits, il se glissa de sa démarche aussi désaxée que lui-même entre les rangées de bancs inoccupés. Son cou tordu par les crampes s’agita, entrainant les épaules et son large dos dans la chasse à l’ankylose. Quête vaine mais répétée. Plongeant, sacrilège, ses mains recroquevillées jusqu’alors dans les poches de son pantalon, celles-ci même qui s’étaient avérées suffisamment vides pour que l’envie le pris de les emplir, dans un sucrier préparé pour le repas matinal à venir, une poignée de sucre blanc trouva auberge aux creux unis et plissés de ses paumes. L’auberge se révéla bientôt calèche puis barque de Charon, envoyant la poudre aux profondeurs d’une poche de chemise, à l’étonnante doublure verte alors qu’une langue rosâtre essuyait avec jubilation les mains des dernières traces du forfait. Après recherches dans ses poches, toutes semblables aux infructueuses premières, l’heureux gamin en retira, Grâce d’un ancien pouvoir saccharosé, une feuille de mandragore rabougrie.

Répétition de la dépravation, une lueur embrasa ses prunelles ternies à cette découverte. Tandis qu’il s’asseyait au bord du plateau de sombre bois verni, ses jambes pendantes dans un vide approximatif, ses doigts pianotèrent les rebords du petit présent divin, le repliant doucement en un rouleau épais et serré, long d’un peu plus d’une dizaine de centimètres. Du bout du pouce, il coinça l’extrémité dans un repli plus lâche que les autres. Sa baguette une nouvelle fois dégainée, il la passa sur la longueur du cylindre végétal qui se recouvrit d’une fine couche de fibre jaunâtre. D’un marmonnement, il fit jaillir du bout de bois une flammèche qu’il approcha de la feuille. Cela fait, il déposa son arme sur le banc où ses orteils, fatigué de l’air insaisissable, reposaient en l’extrémité, équilibristes attachés, et fuma.

Laissant tomber allongée son auguste personne sur la table, ignorant les quelques couverts tombés pendant l’action, il souffla une bouffée bleutée de la substance enivrante. Son âme enfumée saupoudra de nocivité les méandres de la brume dispersée, a moins que cela ne soit l’inverse ?, se répandant un peu plus dans l’air stagnant de la Grande Salle. Désincarné. Délacé comme un corsage, son souffle fébrile s’évadait en s’articulant, dansant en douleur sur le rythme des notes du parfum des camélias. Rouges. Allégorie Scarlatine. Scar. Sombre roi marqué à l’œil du destin et de la folie. Alter Ego. N’oublie pas de vivre, lui avait-on scandé. Et s’il était mort ? Mort. Pas comme chacun l’entendait. Mais comme lui y croyait. Sur le quai 9 3/4 de la gare où la vie reprend son train à chacun de ses battements de cœur. Plus métaphorique. Plus snob. Plus mieux. En cadence, le cœur qui se crève sur une lumière mourante d’automne. Les reflets ocrés du café sur lequel il s’était plongé le consternant alors qu’ils s’agitent sous la vision brûlante d’une poufsouffle s’entassant, à cheval sur sa chaise, goinfrée de muffins encore gras de leur beurre de cuisson. Un sumo qui a mangé la Castafiore entre deux tranches de pain au lard. L’image gravée jusqu’en ses rétines figeait dans leur course à la dilution les substances étranges qui constituaient ses hormones. Cher Artiste Névrosé, plongé dans une drogue immatérielle et mystérieuse. Non, il n’avait aucune idée de ce qu’il venait de narrer. Penser. Dire. Parler sans savoir, c'était tellement mieux que parler en sachant. Les choses n'avaient alors de sens que ce que tu leur en donnes, et, pour les égocentriques, ça suffit.

Ca dépend. Il arrive que les gens m’énervent à tenir des propos sur moi sans me savoir du cil ou du balai …

C'est pour cela que j'ai dit "tu" et pas "on". Lui seul pouvait faire cela. Les autres regarderaient. Ecouteraient. Se lasseraient. Un point, c’était tout. Despotique raisonnement mais tellement mieux. Toujours. Mieux. Pire. Quelle importance lorsque l’un se mêlait étroitement à l’autre dans les résonances tortueuses d’une morale détraquée ?

La névrose appelée à grands cris l’atteint et commença la nécrose. Rongeant son âme en son cerveau, la raison partait bien plus vite que la vie. Et venait le problème. La Panique. La Joie. S’amenait l’oubli à chaque respiration. Il ferma les yeux. Encore. Toujours. Rouges. Rouge. Rouge. Grenat. Sang. Suinte l’élixir de vie, la pestilence enflammée qui n’attend que le meurtre pour se répandre hors de la peau, hors des os où il n’est que trop profondément absorbé, buvards de la fermentation des gênes succubes d’une noblesse pervertie.

Jaugeant de sa figure penchée, la joue collée à la table, la silhouette qui apparaissait derrière ses genoux dressés, il ne chercha pas à reconnaître. C’était pourtant déjà fait. Les cernes rougis par le délire provoqué, Roman laissa échapper un nouveau silence vaporeux à l’instar d’une grimace de sourire malsain.

-U ne faim nocturne, Ma Très Sainte James ?

On ne s’inquiète pas, je trouve aussi ce rp’ très bizarre. ._. Et je n’encourage absolument pas l’usage de stupéfiant en présence de mineur et tousçatousça…
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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Maddison W. Wellan !


Maddison W. Wellan


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MessageSujet: Re: La Clairvoyance de Rome. La Clairvoyance de Rome. Icon_minitimeMer 25 Jan - 1:24



ROMAN AMBROSE & CLAIRE ST-JAMES
La Clairvoyance de Rome

Tout avait l'air réel, cette plage que la jeune femme connaissait par coeur, elle sentait le sable sous ses pieds se glisser entre ses orteils. La Californie lui manquait énormément depuis qu'elle passait ses années d'études en écosse dans le château de Poudlard, il n'était pas rare que dans ses rêves, elle se retrouve sur cette plage qu'elle appréciait tant. Mais cette nuit là, tout semblait différents de tous les songes que la jeune femme avait pût connaitre. L'air semblait trop frai, trop froid, tout était trop calme sur cette plage qui avait tellement de monde à chaque fois où elle s'y trouvait. Mais là au loin, il y avait deux silhouettes, elle ne les reconnaissait pas de si loin, alors elle commença à se rapprocher d'elles. Néanmoins, c'était comme si elle ne voulait pas qu'elle les rejoigne, puisqu'elles restaient toujours aussi éloignés que lorsqu'elle les remarqua. Claire s'avançait de nouveau, pourtant les mètres qu'elle faisait semblaient inexistant face à la distance qui se trouvait entre elle et les deux personnes. Etrangement, elle avait l'impression de reconnaitre l'une des deux silhouettes, sur laquelle était pointé quelque chose. La jeune femme se mit à courir afin d'essayer de voir ce qu'il se passait, mais elle s'arrêta net lorsqu'elle vit l'une des deux silhouettes tomber à terre et l'autre la regarder en la défiant. Cependant, le jeune femme se remit à courir pour se retrouver au niveau du corps à terre, elle s'agenouilla à ses côtés sentant les larmes perler sur ses joues. Puis elle se releva en pointant sa propre baguette sur l'homme qui venait d'assener le coup de grâce à son père. Elle le regardait des les yeux sans faiblir, elle voyait bien qu'il avait un sourire satisfait comme si c'était tout ce qu'il voulait. Sauf qu'elle ne fut pas assez rapide et que lui l'eu avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit et elle tomba donc en arrière atterrissant à côté de son père. Cependant, la jeune fille se réveilla d'un sursaut à ce moment-là.

Claire respirait rapidement, en sentant les larmes couler sur ses joues, elle n'arrivait pas à se calmer aussi rapidement qu'elle le voulait. Restant assise dans son lit, elle regarda autour d'elle afin de voir si elle n'avait réveillé aucune fille et cela fut le cas, tant mieux. Elle n'avait pas très envie de devoir s'expliquer sur ce qu'il venait de se passer dans sa tête. Le cauchemars que la jeune femme venait de faire n'était pas récurrent, bien au contraire, c'était la première fois qu'elle le faisait. Néanmoins, elle ne se doutait pas que la mort de son père l'avait tant affecté afin que son inconscient lui montre de cette manière là. La jeune brune resta assise pendant un moment dans son lit avant de se coucher à nouveau et essayer de se rendormir, même si elle pensait bien qu'elle aurait du mal à le faire. Elle tourna pendant près d'une heure dans son lit, en se rendant compte qu'elle n'y arriverait pas, elle se leva donc et s'habilla à la va vite avec un jean et un t-shirt puis un pull, histoire de pas avoir froid. Allant dans la salle commune vide, elle resta un petit moment dedans en attendant qu'il se passe quelque chose, mais comme il n'y avait rien elle continua en sortant de la salle commune des jaunes et noirs.

Les couloirs étaient bien vide à cette heure de la nuit, elle marchait tranquillement dans le noir de l'école, n'utilisant pas sa baguette au cas où l'un des professeurs feraient une ronde pour savoir si des élèves intrépides étaient dans les couloirs. Cependant, Claire avait le droit de s'y trouver en tant que préfète, c'était un certain avantage néanmoins. Alors qu'elle aperçut une silhouette dans la grande salle, elle s'approcha pour savoir ce qu'il faisait là, elle avait l'impression que c'était un élève et soupira en voyant qui il était. « Une faim nocturne, Ma Très Sainte James ? » La jeune femme roula des yeux, mouvement imperceptible pour le jeune homme qui venait de lui parler, qu'est-ce qu'il faisait ici cet idiot. Elle le regarda de haut en bas en faisant un moue, ce n'était réellement pas ce qu'elle souhaitait après le cauchemars qu'elle venait de faire. « Je pourrais t'enlever des points avec le fait que tu sois là à cette heure, ou bien prévenir un professeur. » La jeune femme venait de lui parler assez froidement en le regardant sans défaillir, sérieusement elle n'avait vraiment pas envie de parler avec lui. Elle ne le connaissait pas vraiment, mais elle s'en fichait, n'ayant pas très envie de le connaitre à vrai dire. « De toute manière cela ne te regarde pas ce que je fais ici. »
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