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Altération des Etats — Faites moi taire ce truc.

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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Cassandre N. Laurentinov !

Professeur Improbable des potions
Cassandre N. Laurentinov


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MessageSujet: Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Icon_minitimeVen 6 Jan - 1:40

    Excusez-moi, pardon, pardon, laissez passer s'il vous plait, oh bonjour monsieur navrée mais je n'ai pas le temps de..


Un sourire faux et pressé fut adressé au professeur de métamorphose sûrement venu à ta rencontre pour ses problèmes intestinaux. Sujet très intéressant, n'est-ce pas Cassandre, auquel tu proposais aimablement une potion pour calmer les gargouillements incessants de ton collègue - mais tu n'avais pas le temps. Oh, et puis, tu n'avais pas non plus spécialement envie aussi, mais ça ça ne pouvait se dire, alors tu te contentas d'adresser un bref salut de la main avant de te faire engloutir une fois de plus par la marée d'élèves en retard qui se précipitait dans tous les sens. Zigzagant entre eux, tu avais bien du mal à maintenir ton pauvre compagnon tranquille. Dans ton cou, ta nuque, ta colonne vertébrale, tu sentais des espèces de chatouillements certes non désagréables mais très, très déconcentrant. Ah, bien sûr, si tu n'avais pas été allé chercher on ne savait quelle babiole que tu avais oublié dans la bibliothèque, tu aurais évité l'agitation générale. Mais non, tu semblais être maudite, toi et ta ponctualité inexistante, à constamment devoir te dépêcher à chaque fin d'interclasse.

Reprenant ton souffle en descendant aux sous-sols, tu ouvris un peu brutalement la porte, faisant un peu baisser le niveau sonore de tes élèves. Marchant sans un mot, laissant les discusions se finir, tu esseyas de cacher le plus discrètement possible les bons que la petite boule de poil te faisait faire inconsciemment. Et dire que tu croyais ne pas être sensible aux chatouilles, te voilà très professionelle. C'était qui cette à heure-ci ? Les sixième années ? Est-ce qu'ils goberont l'excuse de la professeur conviée chez le Directeur ? Non, sûrement pas, tu leur avait déjà fait ce coup là la semaine dernière. Soit. De toute manière, tu n'as pas à t'excuser. Tu es professeur. Un peu de dignité.

    Bonjour à tous et taisez-vous ! Bien, sortez vos affaires pour celles et ceux qui ne l'auraient pas déjà fait..


D'un coup nerveux de la baguette, provoqué à cause de l'animal toujours aussi agité, la craie émis un bruit strident sur le tableau avant de reprendre son tracé. Altérations des Etats : Mon boursouf, il chante. Tu passas alors ta main dans ton dos, te contorsionnant presque pour en ressortir la cause de tes bondissements intempestifs, et la posas en évidence sur ton bureau.

    Bill, montre aux élèves ton dont du chant veux-tu ?

Alors, un bourdonnement se fit entendre aux abords de la petite boule noire. Au début à peine audible dans ce grand silence, le son augmenta, montant en intensité jusqu'à ce que la verrerie posée sur les tables se mette à trembler. Et tu souris aux élèves, et tu t'assis, et après t'être soigneusement mis une substance non-identifiée dans les oreilles, tu claquas des doigts. Et Bill changea son bourdonnement en gazouilli qui en l'espace de quelques secondes tendis plus vers le cri d'écorché vif.
Tu avais toujours aimé ce boursouf.

    Vous l'entendez ? dit-elle en haussant la voix pour couvrir le bruit de l'animal, Et bien commencez à vous y habituer. Jusqu'ici je n'ai jamais réussi à l'interrompre pendant son "chant", mais il existe tout de même deux méthodes, que je vous fait actuellement passer.
    Et avant que vous ne commenciez, sachez que l'élève de la maison réussissant la seconde se verra obtenir 15 points ! La première est plus facile, mais choisissez bien, vous ne pourrez en faire qu'une seule ! Binômes autorisés.


Alors que des recettes venaient de tomber sur les pupitres de chacun, la craie ajouta au tableau "54 minutes" et resta en suspension, prête à rayer le nombre et à le remplacer chaque soixante secondes passées.

Cassandre n'interviendra que ponctuellement dans ce Rp. Je vous laisse libre de vous mettre à deux et de discuter comme bon vous semble par dessus le cri de Bill. Vos places sont libres et tous les ingrédients nécessaires à la première ou seconde potion sont disposés sur vos tables. N'oubliez pas que vous êtes en cours, et que par conséquent toute attitude totalement à côté de la plaque (genre, je sais pas moi, lancer des sorts au voisin de la maison adverse) se verra sanctionnée de points. L'ordre de passage doit-être respecté, et si une semaine se passe sans réponse, le suivant aura le droit de poster.
Votre professeur adorée pourra bien sûr venir vous embêter à tout moment.
Enjoy !


Spoiler:


Dernière édition par Cassandre N. Laurentinov le Lun 16 Jan - 23:25, édité 2 fois
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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Roman Ambrose !


Roman Ambrose


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MessageSujet: Re: Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Icon_minitimeVen 6 Jan - 7:02

Roman leva un sourcil alors que son regard placide tombait sur les bocaux multiples et luisants, exposés en sordides trophées sur des étagères, dont la contenance ne saurait être exprimée dans l’entièrement de l’affre à ce qui est beau, pur, et ne fleure pas l’infusion de poil d’aisselles de loup-garou (certes, c’est rare de nos jours, mais quand même) qu’ils représentaient. Il se dandina sur son fessier, cherchant à coin un peu moins dur sur sa chaise de bois. Peine perdue. Le siège semblait réfractaire à toutes formes de confort. Le dos raide et endolori, l’enfant de seize ans tendait à ne pas tomber dans l’apathie provisoire et saillante qu’une crise de tétanos provoque. Un standing était encore à conserver, aussi mince et irréel soit-il. Vint alors l’interrogation. La question qui ne semblait vouloir se détacher de son existence. A chaque minute, à chaque seconde, elle résonnait, toujours plus agacée et agaçante…

-Mais qu’est-ce que je fout-là ?

Tu es en cours, Darling. Ou, si tu préfères : le cachot dans lequel tu risques non-seulement l’amputation d’un membre à coup de liquides un peu trop explosifs, mais également (combo !), ce qui semble sensiblement plus important dans ton évolution sociales chez les yétis rubicond, faire perdre des points à ta maison. Le Disney World des sado-masos en quelque sorte. Alors, heureux ?

Il faut dire que la nature profonde de Roman n’était pas des plus disposées à souffrir le moindre enseignement. Ni horaires. Et encore moins toutes formes d’attachements. Une chance pour Gryffondor de le compter parmi ses étudiants, en d’autres termes.

Mais, que ce passe-t-il ? Pourquoi tu nous renvoies en arrière ! Tu sais que je déteste ça, ça me file la gerbe et… enfin, je ne puis guère songer à ce que cela soit vraiment bien à mon endroit de… Tu vas le faire quand même… Et merde.

Grande-Salle. Petit Déjeuner. Ses yeux outrés happés par la vision nauséeuse d’une Serdaigle potelée non-identifiée, ce qui était assez compréhensible, c’est qu’il ne trainait pas avec n’importe qui l’Ambrose, engouffrant beignets et tartelettes à une vitesse affolante. Atrocité humaine, presque trop monstrueuse pour être pardonné à son infériorité générale. Il ne put contempler que sa main pour parvenir à s’arracher au spectacle funeste de l’élève.

Sa main. Source de joie et d’intérêts inépuisable. Dans le blanc de la chaire, la rougeur coupable de la porcelaine chauffée se faisait marque infamante de son penchant pour le thé. Pénitence devrait être faite pour réparer sa sottise à vouer pareille délectation aux infusions. Et ce n’était que le premier péché d’une très longue liste en perpétuelle expansion. Alors qu’il n’y songeait qu’à moitié, la liste devint serpent de papier, muant ses mots, ses maux, comme une absolution naturelle. C’était faux. Si le reptilien référentiel muait, c’était qu’il n’avait plus assez de places. Vierge désormais, nuls doutes que sa splendeur de pureté ne fut bientôt souillée des désirs véniels de son jeune créateur.

Et dites-vous bien qu’il est sobre.

Satisfait de cette conclusion permissive des excès qu’il avait prévu pour la semaine… les vingt-quatre heures, il prit le parti de se soustraire à la présence gourmande, massacrant consciencieusement sa nouvelle : les gaufres. A l’instant où il se décidait à partir…

J’ai envie de dire qu’il était temps, vu le nombre de personnes encore présentes, on dirait que t’as cherché le tête-à-tête avec l’ogresse baveuse…

…sa main se redressa sur ses jambes, jambes convenues en un index et un majeur. Exécutant une rapide révérence à la tasse, suppléante mesquine de la tellière-bourreau qu’on leur avait forcé à enlacer pour satisfaire la langue claquetante, là-haut. Longeant la table de ses escarpins roses pâles, la main droite se retrouva bientôt à courir perpendiculairement la longueur d’un mur, sa danse rythmée sur la chanson maugréée par son propriétaire. A la chaleur poreuse des pierres du hall, se succéda la fraicheur du marbre des rampes.

Cabrioles, sauts, elle n’était plus que félicité quand, soudain, se stoppa sa course. Le cri qu’elle aurait poussé si on avait songé à lui offrir une bouche alors qu’elle plongeait dans le vide. Force chance, poignet la sauva, Ah ce poignet, toujours-là pour la retenir, la diriger. Droite tandis l’oreille qu’elle n’avait pas, jaugeant de toute la hauteur de son pouce la jeune fille présentée aux yeux de Roman, cause principale de sa frayeur. Elle ne lui plaisait pas.

Attend, t’es une main… Qu’est-ce que tu pourrais lui reprocher ?

Pas une once de vernis, encore moins de bracelets. Comment créatures pouvaient paraître de si mal à propos ?

Han, moi j’aurais plutôt reproché l’un peu trop visible anorexie et les hurlements de morse affamé comme-quoi Roman était un salop irresponsable, on le savait déjà, si t’as pas de moutard à déposer pour test de paternité : mercibienaurevoir, qu’il n’aurait strictement rien à foutre au quatrième étage, que, non, il ne pouvait pas retourner en Salle Commune, vu qu’ils avaient cours commun de potion qui commençait dans… il y a trois minutes…

[Et Merde.]

Tu l’as pensé.

… qu’apparemment elle s’est prise une retenue la semaine précédente et lui ferais fortement payer sa non-présence de soutient moral dans cette grande épreuve qu’est la vie… à peu de chose près. Mais, après, chacun son move, hein, si toi c’est la manucure qui te gêne…

C’est à cet instant que droite s’était retrouvée œuvrée au portage de manuel scolaire, laissée, pendue non-vivante, le long de jambe droite, celle-ci dévalant les escaliers jusqu’aux cachots.

Voilà. T’es content ? On l’a fait ton flash-back dissimulé dans la narration. Maintenant si tu voulais bien un peu te concentrer sur autre-chose que la poitrine de London, une vieille dame semble avoir perdu son déambulateur là-bas…

Bonjour à tous …

Ah nan, c’est juste Laurentinov… Elle m’aura pas manqué celle-là… Encore qu’elle a apparemment appris la politesse depuis la dernière fois…

… et taisez-vous !

Je me disais aussi…

Bien, sortez vos affaires pour celles et ceux qui ne l'auraient pas déjà fait.

Te sens surtout pas visé Roman… Mais, arrête de regarder fixement ta plume et agit, My God(ric) ! Attend, mais où est passée ta main gauche ? Elle s’est fait la malle, la garce ! J’en étais sûre, on peut jamais faire confiance à une extrémité qui possède un annulaire aussi bizarre… Ah, la revoilà, très chère amie, vous nous aviez manqué. Et avec tes ingrédients. Te fais pas avoir, elle va remettre ça et te briser le cœur en même temps que le poignet…

Son nécessaire à potion disposé avec un soin tout relatif, le jeune homme tapota du bout de l’ongle le verni écaillé de sa table de travail, cherchant avec application de ses prunelles désintéressée la signification des traits blancs marqués vivement au tableau noir. Froncement des sourcils. Une fine ride défigura son front tandis que le sorcier relisait le deuxième mot de la deuxième phrase. Non-pas qu’il ne comprenne particulièrement la sémantique du reste, mais celui-ci lui semblait encore plus improbable en ce lieu. Boursouf…

Attend, qu’est-ce qui lui prend ? Elle a une crise de spasme ? Dis-moi que c’est bon, que cette fois c’est fini, que ça va toucher la moelle épinière, que sa colonne vertébrale va être endommagée irréversiblement, qu’elle va…

[Meurt.Meurt.Meurt.]

Brave petit.

Mettant fin aux maigres espoirs d’Ambrose de pouvoir se soustraire à un cours de potion sans en être réduit à s’extraire un rein, technique qui présentait le désavantage de l’évanouissement dans une petite marre de sang à sa conclusion, le corps emmêlé de l’enseignante retrouva toute sa rigidité habituelle alors que frémissait dans sa main une petite boule colorée et sautillante. Un boursouf. Mais que faisait-il, là ?

Roman, tu me désespères. Même moi j’ai compris que cette immonde petite chose velue est le sujet principal du cours. Mais, t’es pas sensé être un Sang-Pur, toi ? Alors, ça fait quoi un Boursouf ?

Bill, montre aux élèves ton dont du chant veux-tu ?

‘A y est, la Laurentinov est passée de l’autre côté. Elle a décidé de se reconvertir en éleveuse clandestine de Boursouf. Elle va organiser des combats dans ses caves sordides. Demande un ticket avec réduc’, ça te sortira. Je suis quand même curieuse de savoir si c’est London ou toi qui l’avait fait craquer.

Bientôt, ce ne fut plus l’incompréhension qui perçait l’harmonie du visage de Roman, mais bien la souffrance. En effet, aux paroles de sa maîtresse, la bestiole avait entamé un léger concerto, étonnant de douceur mais, de fait, beaucoup plus plaisant. Mais, alors qu’il écoutait, les paupières lourdes, le mélodieux chuchotement de l’animal, celui-ci parût s’être soudainement vu se soumettre à la plus atroce des punitions…

Je crois qu’il vient de t’apercevoir, Roman…

…, engendrant une note d’autant plus affreuse qu’elle ne voulait aucunement s’effacer. Comme une sorte de respiration assourdissante, elle se perpétuait, régulière et inaudible les trois secondes de surprise passées.

Vous l'entendez ?

Le Gryffondor lui adressa un grognement à voix basse pour toute réponse.

Et bien commencez à vous y habituer.

Sa candeur médicamenteuse m’émeut à un point …

Jusqu'ici je n'ai jamais réussi à l'interrompre pendant son "chant", mais il existe tout de même deux méthodes, que je vous fais actuellement passer.

Plus exaspéré qu’effrayé par la perspective de voir l’heure s’écouler sur les tempos monotones des hurlements de Bill, ne prêtant aucunement attention à la suite de discours sucré de la jeune femme, le Rouge&Or agrippa l’un des parchemins et le parcouru rapidement des yeux. Si les rides ne devaient pas marquer durablement son faciès précédemment, on doutait qu’il puisse ôter l’air sombre qui coula allègrement sur ce-dernier à la suite de sa lecture. Pivotant son buste vers le reste de la classe, il croisa, après moult petits sauts frénétiques pour se signaler à celui-ci, le regard d’une poufsouffle bien particulière. Le contact visuel ne dura pas plus des quatre secondes que prit le sourire ironique de Roman pour naître et s’évanouir totalement. Quand à sa signification, elle était on ne peut plus claire. Le statut romanien de Cassandre Laurentinov était instantanément passé de « plusoumoinsrespectée » à « maist’escomplètementcingléetoi !File-moilenomdetonrevendeurdemandra’ ! ».

Bah quoi ? Elle a foutu des images gérontophiles dans ses parchemins, la vilaine coquine ? Décales-toi un peu que je lise. Voilà. Ah ouais… Quand même. Elle est au courant que si t’es ici c’est uniquement parce que London t’as forcé à la faire réviser pour ses BUSE, menace parentale oblige, ce qui fait que tu as assimilé la matière et que ton Désolant de la partie pratique a été compensé par l’Optimal de ta théorie ? ‘Faut dire, si elle s’est pas posée de questions quand ta Potion de Ratatinage de deuxième année à fait fondre ton chaudron, s’est répandu sur le sol, a fait fondre le sol et à envoyé deux élèves à l’hosto’ pour déformation progressive des appendices (J’aurais pas forcément traduit « OHMYLORD, ya des tentacules qui lui sortent du ventre ! Dégagez et balancez-lui un Pétrifiacus avant qu’elle ne se venge des beignets de poulpe que j’ai mangé à midi et ne viole le Calmar Géant ! » par « déformation progressives des appendices », m’enfin.) …
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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
London Dawson !


London Dawson


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MessageSujet: Re: Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Icon_minitimeSam 7 Jan - 9:01

Neuf heure du matin, petite mort de la personne qui est réveillée depuis deux heures mais qui ne tient pas vraiment à sortir de son dortoir/pièce à débauche. Personne qui a passé une des deux heures à choisir la moindre fringue, le moindre bijoux qui aurait l'honneur d'avoir un contact avec sa peau ce jour là. La concernée avait songé durant la nuit à se faire une "totale Uniqlo" et se conformait au programme. Elle commença par un soutien-gorge "Wireless Bra", ça faisait une ligne du buste absolument sublime, ajouta un shorty de dentelle noire, le recouvrit d'un pantalon beige à revers "boyfriend", un tricot bleu marine un peu trop grand qui retombait sur ses maigres hanches mises en valeurs, tricot tellement décolleté qu'on avait un assez bon aperçu de la bordure du "Wireless Bra" d'une couleur noire contrastant avec sa peau blanche. Le tout disparu sous une ample cape noire . Elle enfila ses escarpins jaunes fluorescents Spot On, un grand sautoir en perles orné de plumes s'ajouta à l'ensemble, accompagné de ses copains les bracelets "lanières de cuirs" et la bague tête de mort d'un rose éblouissant. La deuxième heure fut comblée par la création de son chignon faussement "à la va vite" et son maquillage élaboré composé d'un fin trait de crayon noir au ras des cils du bas et d'un trait "vintage" étirant les yeux à la Amy Winehouse d'une étonnante couleur Or relevé d'un fard à paupière bleu turquoise appliqué en dégradé sur l'entièreté de la paupière. Ses lèvres rouges repulpées étaient voulues plus tentantes que celles de Scarlett Johanson, c'est pas encore trop ça mais elle fait des progrès.
Voilà, c'est fini pour la partie chiante, London quitta enfin à regrets son antre partagée avec quelques autres filles courageuses au point qu'elles la supporte. Les gentilles petites.
La poufsouffle tenta un petit sprint sur ses douze centimètres, sorti rapidement de la salle commune quasiment vide, manqua de renverser la moindre personne sur son passage , s'écarta prudemment d'un gros gryffondor à l'air revêche, une petite moue dégoûtée sur sa gueule d'ange (bien qu'assez renflé au niveau des joues l'ange) quant au poids et à la graisse du truc qui passait à côté d'elle (elle est obsédée par la maigreur, mais vous aviez compris non ?) et arriva enfin dans les cachots à son plus grand déplaisir. Pourquoi n'était-elle pas plutôt allée à l'infirmerie en simulant des règles douloureuses ? En parlant de ça, Dawson jeta un coup d'oeil discret à la recherche d'une tâche dans la région des inconvénients menstruels féminins. Histoire de lui remonter le moral, son pantalon était immaculé. Poussant la lourde porte de la salle des potions, assez optimiste quant aux résultats qu'elle pourrait produire, ayant étudié toute la semaine pour s'éviter une troisième retenue, mais néanmoins pas super super enthousiaste à l'idée de rester là-dedans pendant plus d'une heure. C'est une honte cette salle, un coup à rendre malade les élèves, ils veulent s'en débarrasser ou quoi ? Elle s'installa à la fois pas trop près et pas trop loin des autres, ne souhaitant pas particulièrement avoir une discussion à cette heure si matinale (attendez c'est tôt pour elle). Observant le décor d'un air blasé, s'attardant parfois sur un flacon contenant un truc particulièrement étrange et/Ou dégueu au plus au point et attendit patiemment que la prof, cette chère Laurentinov (cette rabat-joie qui n'apprécie pas de ce prendre de résidus de potions explosées dans la gueule) fasse son entrée. Quand la chose fut faite et que la professeur de potion eut fait son petit speech d'entrée, la bestiole noire poilue sur son épaule se mit à hurler. Ah ok. London, l'air absolument subjuguée, un oeil plus ouvert que l'autre et la mâchoire du bas légèrement pendante, écouta vaguement les instructions. Le seul mot qu'elle retenu fut "binôme" et sa réaction mentale fut quelque chose comme "Ouf sauvée".
Tel un zombie bien automatisé elle se leva et posa son petit cul bien moulé à côté de celui de Roman, un gryffouillard. Oh la rebelle j'y crois pas.


-Je suppose que nous pouvons faire un binôme de folie, vu nos deux Désolants aux Buses, donc je propose de faire la deuxième potion ultra-compliquée et produire un belle explosion colorée ? Si le programme te vas évidemment.
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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Elena A. Cousland !


Elena A. Cousland


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MessageSujet: Re: Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Icon_minitimeLun 9 Jan - 4:52

Huit heure du matin. Un leger grognement se fit entendre du lit d'Elena, depuis plusieurs minutes, une de ses amies esseyait de la réveillée, mais Elena ne voulait pas. Deja qu'il lui était difficile de se levée, il fallait en plus que sa journée s'annonce chargée. Finalement les effort de la jeune femme paya, puisqu' Elena sortit de son lit. Elle marcha alors vers la salle de bain, les yeux a moitié fermés. Son cerveau ne s'était pas encore remit en route, et cela mettrait du temps a n'en point douté. Elena était prefète, depuis le début de l'année, ce qui impliquait beaucoups de choses, surtout depuis pas mal de temps, elle était obligée de faire des rondes dans les couloirs la nuit, maintenir l'odre das sa propre maison et bien sur évité que les autres élèves s'en prennent a ceux de Gryffondor. Mais depuis le début de l'année, il y avait quelque chose de changé, ce n'était plus la même ambiance, les tensions entre les maisons avaient carrément tournés a l'affrontement ouvert!
Elena se réveilla lorsqu'elle reçut un jet d'eau froide, elle se demanda alors depuis combien de temps elle était sous la douche.. Atrappant une serviette, la jeune femme l'enroula autour de sa taille et retourna dans son dortoir. Elle prit des affaires un peu au hazard et les enfila. Ensuite elle se maquilla d'un simple trait noir sous les yeux, un peu de fard a paupière et un leger trait de gloss sur les lèvres. Satisfaite, elle quitta son dortoir et alla rejoindre la grande salle. La elle retrouva Haley et Arthur, aparament en grande conversation, elle s'asseya mais ne leur parla pas, ces deux derniers s'étant bien rendu compte qu'elle n'était pas tout a fait réveillée. Elle regarda son emploi du temps et eu une legère grimace, cours de potion en première heure... Bien voila qui commençait mal! Elle ne detestait pas les cours de potion, ni même la prof', mais elle avait un peu de mal a suivre ces derniers temps. A la fin de son petit dejeuné, elle quitta la grande salle et prit la direction du cachot.

Elena était mal a l'aise dans cette partie du chateau. Elle ne put s'empechée de grimacée en voyant Roman et London devant la porte a attendre. On ne peut pas dire qu'elle les portait dans son coeur ces deux la! Le premier, était de sa maison et avait prit un malin plaisir a attaqué une de ses amies, au nom de cette guerre des gangs ridicule. Quand a la deuxième, elle lui avait vomit dessus alors qu'elle se trouvait ivre dans les couloirs... Elena alla s'adossé au mur un peu plus loin et attendit patiament que la professeur arrive. Ce qui ne tarda pas, la porte étant ouverte, Elena alla s'assoir a une table, seule. La jeune Gryffondor sortit son bouquin, une plume et un parchemin. Puis la prof' prit la parole et pour finir une petite...chose noire fit son appartition. Elena était en train d'esseyée de deviné de quoi il s'agissait qu'elle ne preta même plus attention a ce que lui disait sa prof'. Lorsque la chose noire se mit a hurlé, Elena esseya de se reprendre et tout ce qu'elle compris fut binôme et potion. Elena regarda alors la feuille qui aparut devant elle et lut attentivement les deux recettes, elle decida alors de faire la deuxième.
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Roman Ambrose !


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MessageSujet: Re: Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Altération des Etats — Faites moi taire ce truc. Icon_minitimeMer 18 Jan - 6:25

Détachant péniblement son regard affligé de l’afflictive lecture, il perçut alors la présence d’une autre élève, découverte bien moins intéressante que celle de la Poufsouffle. Dans son dos, les yeux de la Cousland le piquaient, topazes brûlées, d’une haine intériorisée.

Quelque chose me dit qu’elle n’a toujours pas digéré ton implication dans l’agression de sa copine par tes potes cinglés et mafieux… Tu devrais lui proposer une thérapie pour gérer sa rancune pathologique, ça va faire quatre mois et une semaine et demi dans trois jours, ‘faut qu’elle passe le cap… A moins qu’elle n’ait eu une relation sexuelle avec … Comment elle s’appelait déjà ? Un nom très… très… comment dire ça de façon « guimauve trop cuite dans la bouche pour faire distingué » ?... Ah oui… moche. Bah quoi ? Un nom inspiré d’un condiment graisseux, vous trouvez-ça approprié pour une gamine, vous ? « Olivia », … ça aura filé la dalle à London et Roman se sera vengé pour elle, ‘fallait pas qu’elle s’étonne… Ou alors, c’est son manque flagrant d’hygiène qui me perturbe… Mais qu’est-ce qu’elle a pris pour se mettre une chèvre éventrée sur la tête ? Han, c’est son visage… D’accord…

Les souvenirs affluèrent pendant que ses prunelles garnissaient les cheveux chocolat d’un air mesquin, sifflement muet d’une humeur moqueuse cassée nette par les élucubrations de la dégénérée qui leur servait de maître des potions.

Hé ben, la préfète et maintenant la prof’… bon, je te comprends pour la deuxième, elle est trianglement flippante, Nan mais, quelle personne saine d’esprit se balade avec un boursouf…( Il gueule encore d’ailleurs. Mon Dieu, la Calasse sous hélium, le retour. Moi qui croyais sottement qu’on en était débarrassé depuis son exorcisme des amygdales de London la fois où tu avais lâché des gnomes dans son dressing (en parlant de ça, je m’étais perdue dans ledit dressing, et est-ce que tu as essayé de me retrouver ? Bien sur que non ! Ca m’a pas étonné de toi, ça. Bon, ok, tu ne peux techniquement pas me voir, me toucher ou m’entendre, mais un peu de cœur, quoi ! J’en ai été réduite à manger des miettes fictives laissées dans une des poches fictives d’un manteau fictif de la poufsouffle. Tu n’imagines même pas à quel point inhumain de névrose conduit l’intolérance d’un enfermement de douze heures dans un placard à fringue, sérieusement, je me faisais plus pitié à moi-même que tu ne me fais pitié, c’est dire. Puis, je me suis rappelée que de toute façon je n’existais pas et que je pouvais me matérialiser où je voulais, I’ve got the Power !, dans tes alentours, Cruel,. Quand même, j’ai flippé, moi, bordel ! Oui, je me contiens.). Certes, il n’avait pas vraiment réussi, surtout que ta cinglée, remarque : laquelle ne l’est pas ?, d’amie avait faillit se noyer dans le bénitier, cependant, on aurait put espérer qu’elle s’en tienne à l’anorexique…) mais fait un peu d’effort niveau respect avec l’administration, merde !

Les cris qui avaient retentis dans la Salle Commune, le ricanement, la gifle, les sorts… tout revenait, vociférants en une litanie, un ruissellement d’horreur murmuré par les Moires à ses tempes. Il sentait le dégoût logé aux creux de la poitrine de la Sang&Or. Une plaie béante qu’il n’hésiterait pas à travailler un peu plus de ses accents affutés. Elle n’était pas prête d’oublier. Lui non-plus. Il la vivait donc désormais comme une vague gêne dans l’existence. Passant un index inconscient sur le bord glacial et rugueux de son chaudron, il pencha la tête sur le côté, lui adressa une moue carnassière et se détourna de sa vision pour, étrange choix de situation, se rapprocher de London(, celle-ci apparemment fort bien marie de trouver ses fonts de culotte vierges depuis l’annonce de sa grossesse, songez donc, mais si elle n’a même plus l’excuse de ses inconforts pour justifier ses conner… ce qu’elle est, c’est sans doute les coups du gamin qui trinqueront pour l’explication.).

On se demande bien pourquoi, en effet. Miss Cousland dégagerait-elle une odeur corporelle semblable à celle d’un troll des marais sous diurétique ? Ou serait-ce juste une convention sociale que de laisser les jeunes filles prudes exclues et livrées aux rats ? Quoique London est avec toi. Cela signifie que c’est une trainée future-fille-mère ou qu’elle a juste récemment changé de sexe ? Histoire que l’enfant soit pas trop perturbé, comme si c’était possible, par la vue de ce que j’appellerai, pour ne point choquer la plèbe, son « appareil-à-sanguinoles» quelque peu… utilisé. Tiens, en parlant de l’incubateur attitré de l’école, il me semble qu’elle parle… Comment ça « comment je le sais » ? Bah, il y a ses lèvres qui bougent et un son qui en sort, pour une fois que c’est pas une langue qui y rentre… Nan mais si t’entends rien c’est parce que t’as mis tes majeurs dans tes oreilles en réfléchissant, j’osais pas te le dire, je croyais que tu savais ce que tu faisais… en supposant que tu devais bien être le seul à savoir, d’ailleurs… Mais apparemment non. No comment. Bon, je te repasse la séquence, sinon Blondie va se poser des questions sur ton autisme présumé…

-Je suppose que…


Tu supposes mal.
-Tu supposes mal , argua-t-il, la phrase à peine débutée.


-… nous pouvons faire…


En plein cours de potion, trouve-toi une ceinture de chasteté petite pervertie !


- un binôme…


Ca me rassure… Quoique, attends, elle parle bien de l’exercice ou c’est une pratique scabreuse dont l’existence m’est inconnue ?


-De folie, je présume ?


-… de folie, vu nos deux Désolants aux Buses,…

Merci de le rappeler, ça faisait, quoi ?, quinze lignes qu’on en avait plus parlé…


Grincement de dents et yeux levés aux ciels. Il avait eut un D, certes, mais un Excellent D ! De plus, qui en ce monde pouvait encore bien s’intéresser à la fabrication de potion ? Comme tout le reste, il suffisait de présenter quelques pièces lustrées à n’importe qui pour qu’on vous accorde toutes les doléances imaginables.


-… donc je propose de faire…


AH AH ! Nous y revoilà ! Chations-la, mes frères et sœurs, Foule enragée mais pure ! Lapidons-la pour qu’elle expie sa lubricité, Catin du Démon !


-… la deuxième potion…


… Bon, rangez les faulx les gars, fausse alerte, au pire on balancera les torches sur Laurentinov, avec un peu de chance ça lui fera plus d’effet que l’eau bénite… J’arrive toujours pas à croire qu’elle n’ait pas fondu… elle doit avoir un truc…


-Si le programme te vas évidemment.
PAUSE ! J’ai raté un épisode, apparemment encore exemple parfait de la luxure dans laquelle est plongée la gosse depuis sa naissance, pendant qu’on remballait le matériel du bucher ! Régie : Retour et Arrêt sur image.


-… ultra-compliquée…


Oh là ! On se calme. Tu viens pas de préciser votre nullité parfaite en termes de partie pratique ? Non ? Hé ben moi je te le dis : t’es pas douée. Et lui, encore pire. Alors, si c’est pour vous estropier un œil, cramer vos cheveux, et vous mettre à chanter la « Vie en Rose » façon Edith, vous vous mâter un Frankenstein, mais pour l’heure, c’est pas le moment, ‘voyez ?


-… et produire un belle explosion colorée ?


Et pyromane avec ça. Enfin… Fumimane. Et mais… Arrête d’hocher la tête et de sourire bêtement immédiatement, Ambrose !


Si le programme te vas évidemment.

Non, le programme ne lui va pas.
Oui, le programme me va.


Mais, mais, mais… Pourquoi t’es plus synchronisé avec moi, toi ? Hein ? Pourquoi, je… han, j’ai mes règles, logique, ça te chamboule de sentir l’écoulement via la narration, pauvre chou…


La tirade posée, telle une leçon bien apprise déclamée avec entrain à un professeur par un élève modèle, il se chargea de replonger dans sa lecture du parchemin déjà multiplement parcouru. Il n’avait guère attendu London pour se décider pour la deuxième préparation. Les termes plus que l’effort étaient alors entrés en jeu, autant que puisse être perçue amusement la torture. « Lente infusion » n’avait pas subit le même traitement d’amnésie littéraire passagère que « complexe » et « risque à la moindre gaffe », en quelque sorte.


Il jeta un coup d’œil sur l’ensemble de leur matériel qui, même mis en commun, ne rassemblait pas plus que ce qu’in élève moyen de deuxième année avait dans son nécessaire. Extorquant à sa beauté placide une grimace improbable, il lui grogna de commencer l’infusion d’Armoise et d’ortie…


Hé là ! La laisse pas faire ! Au mieux, elle va respirer les vapeurs déclancher ses contractions et traitement de faveur !, être envoyée à l’infirmerie parce que, étrangement, je doute que la cinglée qui te sert de prof soit spécialement encline à ce qu’elle nous ponde son gamin sur le carrelage. Au pire, elle va aussi respirer, se shooter, commencer un strip-tease, nous causer des lésions irréversibles à la rétine, et puis finir comme Elephant-man, allongée et morte à cause d’une excroissance anatomique. Bon, dans ce cas-ci , se serait plutôt de la macromamophie, mais enfin…


… pendant qu’il se chargerait de récupérer les plumes et les pierreries lunaires du placard de l’enseignante…


Fournisseuse officiel du Crazy Horse depuis 1789 !


N’attendant aucun refus de la part de la gamine, il s’en pressa de tourner les talons, traînant mains et corps…


Tiens, c’est la première partie de ton anatomie évoquée sans que ne lui soit imputée, mais d’où je sors ce verbe, moi ?, une subsistance spirituelle propre quelconque. J’hésite à envisager ça comme un signe de progrès…


… jusqu’au petit cagibi…


… de torture, où Laurentinov, sadique décolorée, laisse pourir à l’ppétis des vers les carcasses dépouillées de viscères, désormais, mieux, employées comme confitures pour la cinglée, encore toutes fumantes de l’horreur subie à la lueur d’une lune bleue, perçant à travers les barreaux de la petite fenêtre étriquées, oui, oui, comme les petites ouvertures glauques et voyeuristes qui permettaient aux petit gens d’excréter pas totalement dans le noir quand ils avaient leurs toilettes sèches dehors(c’est qu’ils morflaient les pauvres à l’époque… quand je pense qu’il y a des malades pour nous ramener à cette état de dégradation humaine), ‘paraît que c’était aussi pour les empêcher de s’endormir, de gelé et d’être retrouvé mort dans des accoutrements fort peu… accoutrants, aménagée-là pour que le condamné, aussi appelé « élève en retenue » par les tribus locales, aussi appelée « classe » par… par… bah par elle-même, quoi, meurt en sanglotant devant l’image d’un horizon qu’il ne reverra jamais… Quand je voulais disais que ça permanente lui filait des pulsions machiavéliques à mère-grand…


…assez discret dans un coin de la pièce, mis en frais pour chacun, à la disposition, funeste manœuvre, des élèves étourdis, honnis soient-ils jusqu’à la quarante-troisième génération, qui avaient l’intension de voir passer le cours les bras croisés, conduits au chômage technique par faute d’ingrédients. Inutile de préciser la jubilation extatique et parfaitement pléonasmique de Roman quand il eût découvert la douce attention de l’enseignante. Ni qu’il fréquentait l’endroit un peu trop au goût de cette dernière.


Han, je dois me planter de cabane, ‘faut croire que c’est la porte un peu plus sur la gauche, celle dont t’as jamais remarqué l’existence, vas-y Roman, vas-y, je sais que tu as un penchant pour le divertissement macabre, ça te fera peut-être gagner des points, communs et scolaires, avec ta prof !


Trois pas fait en direction de son but, il tourna les talons et revint vers la poufsouffle.


-Une infusion demande qu’on chauffe, hein…


Lui adressant une grimace d’excuse de sa négligence, il se détourna d’elle une nouvelle fois et repris sa destination première.


Pénétrant dans la pièce étroite, il fronça les sourcils et plissa la narine…


Comme si c’était humainement possible. Oui, je l’ai déjà dit à propos du gamin de London… Etonnant, non ? Ca lui fait déjà un point commun avec l’Ambrose… Un test ADN, une analyse littéraire de son narrateur, j’sais pas vous, mais moi j’veux l’voir le p’tit bout né de l’union du narrateur de London et de la narratrice inconnue, et on sera fixé !


Une odeur, un relan plutôt, de pourriture et de saumure mêlées assiégea ses sinus, déjà irrités par le lourd parfum de London, alors qu’il passait un annulaire frétillant sur les étiquettes jaunies, marques indéfectibles des contenus des contenants auxquelles elles étaient collées. Repérant ce qu’il cherchait mornement, il étouffa un raclement de gorge satisfait, cherchant à bannir de son imaginaire les particules odoriférantes qu’il voyait se déposer sur sa langue, pourtant cachée derrière des lèvres hermétiquements clauses. Quelques plumes coincées dans le poing…


Est-ce qu’on peut m’affirmer qu’aucun animal n’a été blessé pendant l’écriture de ce rp’ ? Non, je ne considère pas, pour une fois, pas l’ongle cassé de London comme une agression sur mammifère enragé…


…, la fiole de bile de tatou…


Qui est le malade qui a décidé que la bile de tatou faisait dormir ?


… agrippée, ainsi que divers autres éléments ternis,…


Ca ferait plus gerber…


… il s’empressa …


…vomissure… logorrhée… Parler. Une seconde…


… de…


ROMAN ! Renvoie cette fiole, tu vas faire une connerie ! Quoique non, ça va être marrant, continue Darling…


… sortir du…


Repère de la passion pour la taxidermie de ta prof ?


… carcan national à poudres et petits morceaux séchés d’un peu n’importe quoi…


Même pas drôle, d’abord.


…, encaissant du même coup l’air encore suffisamment déchargé en bouillonnements gras pour être considéré comme pur et le bourdonnement insensible de Bill…


Comment l’oublier c’ui-là…


… qui n’aurait put être qualifié autrement qu’en chieur de première et dont le bref le passage Romanesque dans un environnement, certes naphataliné, mais néanmoins suffisamment éloigné pour rendre les cris ténus, exploit magistral s’il en est, semblait avoir donné bien plus de force à la note.


Frais et délicat, le sorcier s’amena jusqu’à son plan de travail d’un pas qualifié d’éléphantesque et déchargea ses bras avec la douceur d’un petit cachalot contrarié (avouez, vous trouvez ça mignon, même si c’est graisseux). Etalés sur la table, les ingrédients tentèrent bien de s’échapper, petits animaux courbés devant la lumière qu’il n’avait plus vu depuis leur quarantaine d’année d’enfermement.


Wow, quarante ans… En comptant la vingtaine qu’elle devait avoir quand elle les a mis là-d’dans, Laurentinov fait donc VRAIMENT vieille…


… mais bientôt récupérés par Droite, toujours aussi agile, alors que Gauche, empotée crasse, se laissait mollement pendre à bout de bras.


-Bon, où tu en es …


Lord !? Son travail a commencé ? Elle a perdu les ossements et tous-ça ? Faîtes voir ! Faîtes voir ! ‘Faudra pas se confondre le placenta et le gamin, hein Roman, je sais, ça va être compliqué vu les gênes de la mother…


-… dans la préparation ?
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