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LIBRE. Dans le froid de la nuit.

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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Uriel A. Vernon !


Uriel A. Vernon


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MessageSujet: LIBRE. Dans le froid de la nuit. LIBRE. Dans le froid de la nuit.  Icon_minitimeMer 4 Jan - 18:21

Neuf heures du soir. La nuit commençait à peine à tomber sur le chemin de traverse, enrobant les rues d'une fine brume grisâtre. Dehors, beaucoup de personnes chicanaient encore, certain accompagné de leur partenaire, d'autre - moins chanceux - de leurs enfants méchants et braillards. Un fin brouhaha s'y faisait entendre mélangeant pleure et rire. Près de chez Ollivander, l'une des plus grandes enseignes du monde magique, un groupe de quatre personnes frisant la vingtaine passa en rigolant. En tête, une rousse discutait activement avec un beau brun qui semblait totalement se ficher de ce qu'elle pouvait bien lui raconter. Derrière eux, deux garçons, l'un blond et l'autre aussi brun, marchaient sans prononcer mot, mais en admirant les lieux. Après avoir dépassé une grande librairie, le groupe s'arrêta devant une porte en piteuse état. Le premier brun poussa celle-ci et pénétra dans les lieux, suivis de très près par les autres. Cet endroit à l'apparence miteuse n'était autre que le Chaudron Baveur, un des lieux les plus fréquentés de la région. À l'intérieur, un mélange de tabac et d'alcool se faisaient sentir dans l'air. La jeune femme apparemment surexcité devança son compagnon, les menant vers un endroit plus calme au fond. En voulant attraper la main de l'homme, ladite fille bouscula un jeune homme installé au bar. Confuse et certainement gêné par le regard du garçon qui la regardait - souriant - de haut en bas comme s'il jaugeait le produit, elle s'excusa rapidement avant de filer au fond. Le garçon roula des yeux, arborant un léger sourire, mi-amusé mi-agacé.

- Encore un Tom, steup', lança-t-il en se retournant.


Uriel les suivi du regard puis se retourna une fois qu'ils furent installés. Il pivota agilement sur son haut tabouret et attrapa sa cigarette qui n'allait pas tarder à se finir. Le jeune homme tira une longue latte puis l'écrasa sans ménagement dans le cendrier prévu à cet effet. Relevant ses prunelles noires vers Tom, le tenancier du bar, qui venait de lui apporter son verre d'alcool, il lui adressa un clin d'oeil en guise de remerciement et attrapa le verre. C'était son quatrième saupoudré de quelques allés au toilette pour se poudrer le nez. Heureusement pour lui, et pour les autres, il tenait bien l'alcool généralement. En un rien de temps, Vernon finit son verre qu'il poussa devant lui une fois terminé. Sa montre indiquait vingt et une heure vingt-deux. Et merde, à une minute près il aurait put faire un voeu. Il prit sa veste de cuir fin noir qu'il avait posé à côté de lui et en sorti un billet de cinq ; il le posa à côté du mojitos qu'il venait de boire puis enfila l'habit par-dessus son t-shirt des Clash qui lui tombait pile sur les hanches. Uriel s'étira un instant, légèrement embué par l'alcool, gagnant ainsi quelques brefs centimètres. Cela allait bientôt faire une heure et demie qu'il était installée ici, avec pour seule compagnie son paquet de Marlboro qu'il avait presque vidé en une soirée. Uriel sauta prestement du haut de la chaise et atterrit sur ses Doc qui claquèrent doucement au contact du sol. Il jeta un dernier coup d'oeil au groupe puis se tourna vers Tom et le gratifia une nouvelle fois d'un de ses sourires. Ensuite, il traversa la salle qui c'était bien remplie depuis son arrivée pour terminer par ouvrir la porte en bois et sortir du bar.

Au contact de l'air froid, Vernon frissonna malgré sa veste sur les épaules. Sa tête commençait à lui faire mal : l'alcool commençait certainement à faire effet. Toujours ce sourire malicieux dessiné sur les lèvres, il se mit en marche rêvant à moitié. Il passa devant un grand bâtiment d'une blancheur de neige, avec un portail de bronze étincelant que plusieurs Gobelins poussèrent pour sortir de la banque de Gringotts et pour la seconde fois de cette soirée, une personne - un homme cette fois-ci - le bouscula, le sortant ainsi de sa rêverie. Il chancela et s'appuya contre un mur pour ne pas tomber, déchirant un peu le genou de son slim noir contre la surface râpeuse de celui-là. Sa tête était brûlante et elle lui tournait dangereusement. Avec un peu de chance, il arriverait à Poudlard tranquillement... S'il ne se trompait pas de rue en allant dans l'allée aux embrumes. Le jeune homme frissonna en pensant à cet endroit mal famé. Non pas que le danger lui faisait peur - au grand dieu non -, mais l'idée d'y aller seul ce soir, légèrement ivre ne le tentait pas vraiment... Il n'avait pas l'envie de se battre ce soir. De plus, cette allée grugeait de mauvais sorciers dont l'unique but étaient d'acheter tout ce qu'il pouvait qui avait un quelconque rapport avec la magie noire. Secouant, la tête, chose qui augmenta les degrés de son mal de crâne, il se remit à marcher en direction de Poudlard.

Il mit peut-être une heure ou deux avant d'y arriver. Bien heureusement, Uriel ne se fit pas ennuyer par quelques sorciers en manque. Ce long chemin l'avait fatigué, ses yeux commençaient légèrement à se fermer. Son souffle se faisait haletant. Son mal de tête s'amplifiait. Il ne désirait qu'une chose : dormir. Nonobstant, le jeune homme grimaça à l'idée de rentrer au dortoir. Si jamais Rusard et sa foutue Miss Teigne venaient à le trouver ainsi dans les couloirs, s'en serait finie de lui après toutes ses conneries. Soupirant, il remonta l'allée, se retrouvant tout près du lac. Un instant, il regarda en direction de l'eau : il était tellement grand et profond. L'idée d'y nager le fit sursauter. Les lacs et la mer, c'étaient sa hantise. Il traversa ses hautes herbes vertes pâles en les caressant doucement du bout des doigts avant d'aller s'affaler contre un arbre, non loin du Saule.

Il finit par se relever quelques minutes après et décida d'aller jusqu'à la forêt interdite : son terrain de jeu. Il marcha peu de temps avant de s'affaler à nouveau contre un nouvelarbre. Tant pis pour lui, il passera sa nuit ici, au pied de cet arbre. Uriel se roula en boule pour avoir un peu plus chaud et rabaissa ses paupières sur ses iris noirs. Il ne mit pas longtemps à tomber dans les bras de morphée malgré le vent qui le frigorifiait littéralement. En une ou deux heures, ses lèvres virèrent au bleu à cause du froid. Par bonheur, elle n'allait pas tarder à être découverte par quelqu'un. (enfin j'espère !
:*ah*: )
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Hé, mais je reconnais cette personne.. C'est
Calliopée O. Heathcliff !


Calliopée O. Heathcliff


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MessageSujet: Re: LIBRE. Dans le froid de la nuit. LIBRE. Dans le froid de la nuit.  Icon_minitimeJeu 5 Jan - 4:54

LIBRE. Dans le froid de la nuit.  Crying-dianna-agron-gif-glee-sad-Favim.com-235640
Like a child …



La nuit tombé sur Poudlard et j’allai devoir faire ma ronde, seule comme d’habitude, pour ne pas les faire ensemble Liam et moi avions depuis bien longtemps trouvé nôtre système. Je faisais ma ronde le week-end et le mercredi, lui le reste du temps ! Car oui, choix judicieux pour moi et ma maison, les fêtes pouvait être organisées et seule les gryffondor, serdaigle ou poufsoufle présent pouvaient perdre des points. Et ses biens connu les serpentard sortent le week-*end pas les serdaigles … Mais ce soir, je n’avais pas le cœur à roder, ni même à aller faire des petites fouillent dans les affaires de Miss Cassandre nôtre professeur de potion. Ma cape sur les épaules, mon insigne de préfet bien en évidence, je marchais dans le château d’un pas calme et discret. J’avais toujours était doué pour attraper les valeureux Gryffondor qui se croit plus malin que les autres. Ou les Serdaigles se pensant trop intelligent pour se faire avoir. Mais j’étais rusée comme l’ai toute bonne serpentarde et je m’en amusais bien souvent. Ce soir j’avais reçus une lettre de mon père, celui-ci me rappelait que le mariage avec Liam aurait bien lieu l’été prochain. Nous étions fiancés depuis les dernières vacances et ne nous y attendions aucunement. Mes yeux se tournèrent vers la grande horloge, 21 heures sonnées. Plus personne ne devait être en dehors du château. Je décidai de sortir tout de même pour vérifier qu’il n’y ai pas de petits malins. Le vent me congelait littéralement chaque partie de mon corps, j’avançais ma baguette en main histoire de voir ce qui m’entourait. Le silence était de plomb. J’étais envahis de frisson, le vent me glaçais le visage mais je me sentais bien, comme-ci j’étais libre. Je me revoyais enfant avec Liam, nous aimions passer nôtre temps dans le grand jardin, la nuit nous regardions les étoiles et mère hurlait que j’allais attraper froid, j’étais si fragile, si frêle. Je n’étais plus une enfant, j’avais grandis mais je savais déjà que demain je serai malade et qu’après un tour chez madame Pomfresh j’irai surement mieux dans la journée. Mes yeux s’attardèrent sur la forêt interdite, j’avais envie d’y aller comme chaque fois où les souvenirs qui m’agressaient me donner les larmes aux yeux.

Je n’ai jamais aussi loin que je me souvienne pleurer en publique, car comme mère me l’as toujours dit, c’est indécent. Je fus élevé dans les règles de l’aristocratie Française, on ne mange pas avec les coudes sur la table, on se tiens bien droite, on marche comme-ci un fil invisible nous tenez la tête droite. Le port de tête altier n’as aucun secret pour moi. Boire du thé avec le petit doigt savamment lever un jeu d’enfant. Mère ne m’as jamais trouvé assez parfaite, père lui était éblouis chaque secondes par ma façons de me comporter. Liam me trouvait juste plus que parfaite. Je me souviens que nous rigolions bien, qu’avec lui je n’avais pas besoin de faire de manière, il m’avait fait découvrir les joies de manger avec les mains, de me rouler dans la boue avec ma nouvelle robe blanche, les joies disparut… Et puis il est parti, mère et morte et plus rien ne fût comme avant. Les larmes roulaient sur mes joues machinalement, sans réel raison d’être, sans but aucun. Je ne savais pas pourquoi je pleurai mais ça me faisait un bien fou. Je ne m’aperçus pas immédiatement que j’étais dans la forêt quand j’entendis un bruit, un grognement ? On aurait crus mais un grognement humain ! Je tendis l’oreille, un ronflement ? J’avançais baguette en avant vers la source du bruit. Plus je m’approchais, plus le bruit se faisait faible comme épuisé. Soudain je heurtais quelque chose sur le sol, je pointai ma baguette vers la masse inerte, un jeune homme. Il était là étendu sur le sol, je m’approchais doucement, son haleine avez une odeur horrible d’alcool. Je soupirai et fit apparaitre une grande couverture d’un simple coup de baguette, je ne pouvais décemment pas le ramener au château dans cette état ! Je l’en emmitoufler. Je lui tapotais alors la joue pour le réveiller. Enfin je lui envoyais un léger filet d’eau chaude sur le visage.


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