Morning sports [Pv Mali]

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Mardi 12 Decembre,

C’était une belle matinée endiablée par le soleil, James n’avait alors pas de cours de la journée, ses professeurs étant en réunion exceptionnelle. Alors il décida donc de prolonger sa nuit avant d’aller faire son sport quotidien.
Il se leva donc dans les environs de 10h, pour lui un réveil aussi tardif était rare...

Les garçons de chambré, eux, étaient déjà tous réveillé et surement allé faire le travail ou discuter, ils n’étaient pas tous sportifs comme lui… C’est alors que James rumina un peu car après avoir jeter un coup d’œil autour de lui apprit que les autres avaient fichu un désordre pas possible. Il soupira en se disant que c'était bien une chambre de mecs !

James décida de passer rapidement sous la douche pour pouvoir se réveiller correctement et sentir un peu plus meilleur !
Ensuite il s’habilla d’une façon décontracté avec une sorte de sous pull à capuche et d’un jogging.

Avant de partir il n’oublia pas d’ouvrir la fenêtre et de mettre son meilleur ami à coté de la fenêtre, je parle bien entendu de son ami fidèle, son balais. James était un mordu de sport, il ne pourrait jamais passé une seule journée sans être monté sur son balais car dessus il se sentait vraiment vivre, il n’y a rien d’autre qui pourrait le procuré ce plaisir si intense..
Il sortit de sa chambre en descendant les escaliers qui menaient à la salle commune de Godric Gryffondor, arrivé dans la salle principale il ne vit que cinq ou six personnes environ qui étaient entrain de réviser et de discuter entre 2 cours. Alors il prit le chemin accédant à la sortie de celle-ci, juste après avoir passé la porte il rencontra un camarade de classe a qui il dit bonjour tout en continuant son chemin. Il descendit donc par les escaliers qui pour une fois n’en ont pas fait qu’a leur tête.
10 minutes après il arriva dans le grand hall d’entré, comme à son habitude James regarda les panneaux d’affichages pour voir il y avait des nouvelles intéressantes, et si des élèves avaient prit des prospectus qu’avait mit James. En effet, il donnait des leçons de vols aux premières et aux deuxièmes années mais les autres peuvent aussi y participer, il y avait même un professeur qui discrètement venait voir James pour apprendre.

Soit, cette fois ci il n’y avait pas de réponses alors il passa son chemin pour pouvoir accéder au parc, il passa donc par le porche de Poudlard et ensuite il atterrit à l’entré du parc et c’est alors qu’il se dit qu’il avait quand même beaucoup de chance d’être dans cette école qui est la plus grande de Grande Bretagne. Il esquissa alors un léger sourire et se mit à courir en direction de la forêt interdite d’une cadence soutenu mais c’est alors qu’il passa à coté d’une personne qui regardait James bizarrement.

Oh Fuck ! Hallucination ! Un élève qui fait du sport ! O.O

Arrêt sur image. On rembobine.

Malicia était quasiment certaine de ne trouver personne debout aux premiers rayons du soleil. Et elle ne s’était pas trompée. Le parc était vide, l’air vivifiant, et les ombres semblaient réticentes à se retrancher sous le couvert des arbres. Elle inspira profondément, les paupières closes et laissa la fraicheur matinale se glisser à travers ses poumons. Pieds nus, un simple jogging en tissu, et un autre de ses fameux débardeurs, elle rejoignit tranquillement les abords du lac noir. Elle avait découvert quelques jours plus tôt que le reflet du soleil qui se lève sur l’étendue d’eau sombre avait de quoi la faire sourire. Et si quelque chose pouvait faire sourire Malicia, il méritait alors toute l’attention possible à ses yeux. Les minutes passant, la clarté se fit de plus en plus forte, de plus en plus belle… Douce chaleur qui vous émerveille, et vous retient captif. La jeune femme se tenait là, bien droite, les épaules légèrement lâches, preuve de de sa décontraction sincère. Ses lèvres s’étirèrent peu à peu, mais avant même qu’elle n’ait souri franchement, toute trace de joie avait disparu de son visage.

Que faisait-elle là, réellement ? Vagabonder à travers un château qu’elle ne connaissait pas, du matin jusqu’au soir, jour après jour ? Quelle déchéance. Elle avait beau savoir qu’elle était l’une de celle qui pouvait le mieux s’en tirer en ces lieux, elle ne pouvait s’empêcher de penser que son patron aurait pu envoyer des personnes, qui avaient au moins, passé leur scolarité à Poudlard, par exemple. Non mais quelle idée de laisser des escaliers n’en faire qu’à leur tête ? Elle était parfois obligée de sauter d’un point à un autre, en espérant qu’aucun élève ne passerait dans le coin au même moment. Et ces histoires de maisons ? Elle n’était même pas sure de les avoir retenues… Le corps professoral voulait une compétitivité entre les élèves ou quoi ? Parce que l’excuse comme quoi chaque môme avait des qualités propre à sa couleur la faisait doucement rire. Depuis quand ne pouvait-on pas vivre avec des personnes différentes de soi ? Au contraire, là, on les obligeait à vivre avec des camarades possédant les mêmes grands traits de caractère. Ridicule. Déjà cataloguer les élèves… Voilà, hein, mais les faire mariner dans leur salle commune pendant sept ans…

Malicia passa la main sur son visage, ôtant toute trace d’une fatigue qui n’était déjà plus, depuis le temps qu’elle était réveillée, et se détourna du lac. Elle se rendit ainsi compte qu’une bonne heure avait dû s’écouler depuis qu’elle était plongée dans ses pensées et prit la décision de commencer ses exercices sans plus tarder. Les étirements lui firent du bien, faisant rouler les muscles de son dos, et bander ceux de ses jambes et de ses bras. Elle marcha tranquillement jusqu’à un point de départ, et se mit à courir. Une demi-heure passa avant qu’elle ne fasse une pause pour regarder autour d’elle et se rendre compte que quelques élèves étaient sortis. C’est à ce moment-là qu’elle vit un garçon en tenue de sport lui aussi. Elle le fixa attentivement, curieuse de voir un spécimen rare du groupe des sportifs, avant de se remettre à courir elle aussi. Bientôt, l’ennui remplaça le calme dans son esprit, et en quelques foulées, elle eut rejoint le garçon.

- Hey gamin, on regarde ce que tu as dans le ventre ?

Lui lança-t-elle avant d’allonger le pas pour le doubler avec facilité. Elle jeta à peine un coup d’œil derrière elle.

- Alors ?